Édition 2019 (Prise 8)

Édition 2019 (Prise 8)

Les films en nomination ont été sélectionnés par l’équipe de L’OEIL CINÉMA pour ensuite être acheminés au jury qui a rendu son verdict le 4 juin 2019.

Les films en nomination ont été sélectionnés par l’équipe de L’OEIL CINÉMA pour ensuite être acheminés au jury qui a rendu son verdict le 4 juin 2019.

Les lauréats

Les lauréats

La Salle

La Salle

Collège Esther-Blondin de Saint-Jacques

Meilleur film - ¨Premier cycle 2019

Collège Esther-Blondin de Saint-Jacques

Meilleur film - ¨Premier cycle 2019

Labyrinthe

Labyrinthe

École d'éducation internationale de McMasterville

Meilleur film - Deuxième cycle 2019

École d'éducation internationale de McMasterville

Meilleur film - Deuxième cycle 2019

Je m'appelle Demain

Je m'appelle Demain

École secondaire Mitchell-Montcalm de Sherbrooke

Mention spéciale du jury

École secondaire Mitchell-Montcalm de Sherbrooke

Mention spéciale du jury

Le jury

Le jury

Natacha Dufaux – Monteuse

France Dubé – Monteuse son et image

Hubert Macé de Gastines – Preneur de son

Mots du jury
La Salle
Bravo pour cet impressionnant travail! L’ouverture du film avec les images d’archives familiales est forte et on a rapidement de l’empathie pour le personnage principal. La cinématographie est soignée autant dans la mise en scène que dans les cadrages et la lumière. Le film témoigne d’une grande maîtrise du montage et nous plonge dans les visions cauchemardesques du personnage. Des félicitations particulières pour les comédiennes. Leur interprétation est juste, à la hauteur des rôles à endosser. Leur jeu est bien soutenu par un choix judicieux de décors, de costumes et de maquillages qui ajoutent du réalisme à ce drame. Au-delà de la qualité esthétique du film, le jury a relevé l’intérêt du sujet. Il n’est pas aisé de parler de santé mentale et le film rend bien la détresse et la solitude de ceux qui perdent le contact avec la réalité. 
 
Labyrinthe
Le jury a été secoué par cette proposition cinématographique qui témoigne d’une grande maturité. Labyrinthe est un film audacieux, qui prend le véritable risque d’une poésie par l’image. Rapidement, on est intrigué par la quête de ce personnage errant dans les méandres de sa propre psyché. Les environnements qui ont été choisis sont évocateurs et bien exploités par la caméra. La bande sonore est aussi très bien travaillée. Elle accompagne l’intrigue, nous offre quelques indices et maintient le climat d’inquiétude sans tomber dans les excès. Le son suit harmonieusement le ballet d’une caméra toujours en mouvement. Le jury a été particulièrement touché par ce jeune homme qui se cherche en revenant sur les lieux de son passé. Encore bravo!
 
Je m’appelle demain
Le jury a tenu à accorder une mention spéciale à Je m’appelle Demain qui témoigne d’une grande maîtrise du langage cinématographique, pour lequel il a eu un coup de cœur. Les choix de cadrage, les mouvements subtils de la caméra, le travail des couleurs et de la lumière sont tous au service d’une proposition esthétique forte. Le jeu sobre des comédiens trouve un bel équilibre dans la narration qui est livrée avec émotion. Le texte est percutant et le montage installe le rythme juste pour l’apprécier. Un seul défaut : le jury aurait aimé que ça dure un peu plus longtemps!
Natacha Dufaux – Monteuse

France Dubé – Monteuse son et image

Hubert Macé de Gastines – Preneur de son

Mots du jury
La Salle
Bravo pour cet impressionnant travail! L’ouverture du film avec les images d’archives familiales est forte et on a rapidement de l’empathie pour le personnage principal. La cinématographie est soignée autant dans la mise en scène que dans les cadrages et la lumière. Le film témoigne d’une grande maîtrise du montage et nous plonge dans les visions cauchemardesques du personnage. Des félicitations particulières pour les comédiennes. Leur interprétation est juste, à la hauteur des rôles à endosser. Leur jeu est bien soutenu par un choix judicieux de décors, de costumes et de maquillages qui ajoutent du réalisme à ce drame. Au-delà de la qualité esthétique du film, le jury a relevé l’intérêt du sujet. Il n’est pas aisé de parler de santé mentale et le film rend bien la détresse et la solitude de ceux qui perdent le contact avec la réalité. 
 
Labyrinthe
Le jury a été secoué par cette proposition cinématographique qui témoigne d’une grande maturité. Labyrinthe est un film audacieux, qui prend le véritable risque d’une poésie par l’image. Rapidement, on est intrigué par la quête de ce personnage errant dans les méandres de sa propre psyché. Les environnements qui ont été choisis sont évocateurs et bien exploités par la caméra. La bande sonore est aussi très bien travaillée. Elle accompagne l’intrigue, nous offre quelques indices et maintient le climat d’inquiétude sans tomber dans les excès. Le son suit harmonieusement le ballet d’une caméra toujours en mouvement. Le jury a été particulièrement touché par ce jeune homme qui se cherche en revenant sur les lieux de son passé. Encore bravo!
 
Je m’appelle demain
Le jury a tenu à accorder une mention spéciale à Je m’appelle Demain qui témoigne d’une grande maîtrise du langage cinématographique, pour lequel il a eu un coup de cœur. Les choix de cadrage, les mouvements subtils de la caméra, le travail des couleurs et de la lumière sont tous au service d’une proposition esthétique forte. Le jeu sobre des comédiens trouve un bel équilibre dans la narration qui est livrée avec émotion. Le texte est percutant et le montage installe le rythme juste pour l’apprécier. Un seul défaut : le jury aurait aimé que ça dure un peu plus longtemps!