
Les Ordres

Les Ordres
Le film
Le film
Octobre 1970 à Montréal. Sous prétexte de neutraliser l’action terroriste du Front de libération du Québec (FLQ), le Parlement canadien a voté la Loi des mesures de guerre. La police et l’armée avaient tous les pouvoirs pour enfermer quiconque était susceptible d’avoir des liens avec le FLQ. Plus de 400 personnes ont été arrêtées. LES ORDRES raconte le drame de cinq d’entre elles : Clermont Boudreau, ouvrier dans une usine textile et syndicaliste ; Marie Boudreau, épouse de Clermont et mère au foyer ; Jean-Marie Beauchemin, médecin ayant fondé une clinique de quartier pour les gens à faibles revenus et ancien candidat socialiste ; Claudette Dussault, jeune assistante sociale ; Richard Lavoie, musicien au chômage et père au foyer.
Octobre 1970 à Montréal. Sous prétexte de neutraliser l’action terroriste du Front de libération du Québec (FLQ), le Parlement canadien a voté la Loi des mesures de guerre. La police et l’armée avaient tous les pouvoirs pour enfermer quiconque était susceptible d’avoir des liens avec le FLQ. Plus de 400 personnes ont été arrêtées. LES ORDRES raconte le drame de cinq d’entre elles : Clermont Boudreau, ouvrier dans une usine textile et syndicaliste ; Marie Boudreau, épouse de Clermont et mère au foyer ; Jean-Marie Beauchemin, médecin ayant fondé une clinique de quartier pour les gens à faibles revenus et ancien candidat socialiste ; Claudette Dussault, jeune assistante sociale ; Richard Lavoie, musicien au chômage et père au foyer.
Le cahier
Le cahier
Le cahier
Ce cahier présente le cinéma comme une façon de regarder la société, comme une forme de sociologie. Chaque film devient ainsi un miroir, mais un miroir déformant de la réalité, et a un rôle à jouer dans l’aventure sociale. À partir des ORDRES, le cahier présente les principales questions que soulèvent le film et la difficulté du cinéaste de proposer une réponse "définitive" sur l’événement historique qu’il décrivait, notamment la déception d’une partie de la critique qui ne considérait pas le reflet comme "fidèle".
Ce cahier présente le cinéma comme une façon de regarder la société, comme une forme de sociologie. Chaque film devient ainsi un miroir, mais un miroir déformant de la réalité, et a un rôle à jouer dans l’aventure sociale. À partir des ORDRES, le cahier présente les principales questions que soulèvent le film et la difficulté du cinéaste de proposer une réponse "définitive" sur l’événement historique qu’il décrivait, notamment la déception d’une partie de la critique qui ne considérait pas le reflet comme "fidèle".




Programmes d'études visés
Programmes d'études visés
à titre indicatif seulement
- Culture et citoyenneté québécoise : 3e, 4e et 5e secondaire
- Français : 3e, 4e et 5e secondaire
- Histoire : 4e et 5e secondaire
à titre indicatif seulement
- Culture et citoyenneté québécoise : 3e, 4e et 5e secondaire
- Français : 3e, 4e et 5e secondaire
- Histoire : 4e et 5e secondaire
à titre indicatif seulement
- Culture et citoyenneté québécoise : 3e, 4e et 5e secondaire
- Français : 3e, 4e et 5e secondaire
- Histoire : 4e et 5e secondaire
Générique
Générique
Générique
Réal. et scén. : Michel Brault
Images : Michel Brault et François Protat
Mont. : Yves Dion
Son : Serge Beauchemin
Décors : Michel Proulx
Costumes : Louise Jobin
Prod. : Bernard Lalonde et Gui L. Caron
Int. : Louise Forestier, Claude Gauthier, Jean Lapointe, Hélène Loiselle, Guy Provost
Réal. et scén. : Michel Brault
Images : Michel Brault et François Protat
Mont. : Yves Dion
Son : Serge Beauchemin
Décors : Michel Proulx
Costumes : Louise Jobin
Prod. : Bernard Lalonde et Gui L. Caron
Int. : Louise Forestier, Claude Gauthier, Jean Lapointe, Hélène Loiselle, Guy Provost

